Nous sommes fiers d’être partenaire de Spotlight par cube 3, le concours de startups dédié à la tech, imaginé par Cube3. À la croisée de l’innovation, du jeu et de l’entrepreneuriat, ce concours met en lumière les talents émergents de la scène tech française à travers un concept original : une compétition immersive et interactive au cœur d’un cube géant.
Un cube LED interactif conçu pour Spotlight
Pour donner vie à cette expérience inédite, France Écran Location avait spécialement conçu un cube LED interactif de 25 m² au sol et deux écrans de 5m x 4m en pitch 2.6mm, pensé comme un espace de jeu en réalité virtuel (XR). Ces murs de LED offraient une immersion totale aux candidats, plongés dans un univers visuel dynamique et captivant.
Le jury était composé de grandes figures de l’écosystème tech :
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Éric Larchevêque, fondateur de Ledger,
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Nicolas Louvet, PDG de Coinhouse,
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le youtubeur Amidex,
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Valentin Demé, CEO de Cube 3,
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et Laura Germain Douchez, Responsable innovation chez Orange.
Le plus grand concours de Startup de France dédié à la tech
Les participants ont dû défendre leur projet et relever cinq défis majeurs, censés marquer l’avenir de leur startup. À la clé : un ticket d’or pour accélérer leur développement, ainsi que plusieurs centaines de milliers d’euros de financement.
Le cube LED a joué un rôle central en tant qu’outil d’interaction et d’animation. Certaines cases s’illuminaient en fonction des réponses des candidats, transformant ainsi le concours en un véritable show virtuel immersif.
Vous pouvez retrouver la vidéo du concours complète dès maintenant sur YouTube en cliquant sur le lien.
Grâce à un pitch ultra-fin, une technologie black face, un taux de rafraîchissement élevé et une structure sur mesure, le cube s’était transformé en véritable décor de scène, à la fois plateau TV et terrain de jeu interactif.
Les décors virtuels avaient été entièrement créés par l’équipe Cube 3 elle-même.
L’écran LED au sol, capable de supporter plus de 200 kg par m², avait accueilli jusqu’à 25 personnes simultanément. Le montage comme les répétitions avaient chacun duré une journée, un exploit rendu possible grâce à une organisation millimétrée préparée plusieurs mois en amont du tournage.
